Santé mentale et bien-être à l'université

Au Kenya, les familles d’origine modeste aspirent à envoyer au moins un de leurs enfants à l’université. C’est pour cette raison qu’elles finissent par interrompre l’éducation des autres frères et sœurs, surtout celle des petites filles, dans le but de favoriser le fils aîné. La pression et le changement de vie qu’implique la transition d’un environnement rural à la vie universitaire déclenchent des problèmes de santé mentale qui se manifestent au cours de la première année. Ce projet de promotion du bien-être émotionnel que Nous Cims encourage dans deux des principales universités du pays est donc vraiment nécessaire.